La miqo’te était passée en coup de vent comme souvent ces dernières semaines. Elle avait laissé un mot à Vivielle à l’attention de Nyme et Valemont pour signifier qu’elle reprenait sa liberté mais qu’en cas de besoin elle serait toujours là pour ses amis.
Après avoir reçu une bise rapide, l’élézen avait regardé la miqo’te passer la porte du manoir de son pas énergique chargée d’une boite contenant ses dernières affaires, sans pouvoir s’empêcher d’essuyer une larme fugace.